The Sweet Little Mother Fuckin' Show est le premier album autoproduit de Fantazio, fanfare qui a roulé sa bosse dans l'est parisien et chauffé à blanc nombre de bars européens (Berlin, Roumanie), emmenée par un contrebassiste furieux et le barissement des cuivres.
La musique de Fantazio englobe tout ce que le gang a charrié au cours de ses pérégrinations. Venu du punk des Wampas (early version) et du rock alternatif des Garçons Bouchers et Bérurier Noir, la troupe conjugue ces influences avec de la fanfare tzigane, de la java parigote, du jazz manouche ou du rock'n'roll millésimé.
Ce premier cru intègre les multiples facettes de la fanfare éléphantesque, et draine sa bonne humeur contagieuse dans un flot musical détonnant allant de « Seven Days » et de l'hénaurme « La Thaïlande » à « Sad Lips » en dix-huit étapes sans trou.
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The Sweet Little Mother Fuckin' Show
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