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Stock: 1 / Price: 25.00€

La chaise sur laquelle je suis assis

Presque tout pour trois fois rien et le reste est gratuit

DVD > La chaise sur laquelle je suis assis (199', vo fr & nl + st fr & nl)

Livre >  Presque tout pour trois fois rien et le reste est gratuit (140 pages, synopsis + série de narrations en français)

 

Ce livre/Dvd réalisé à l'occasion de l"exposition « Le premier échelon/ De eerste trede », est une compilation ludique, en deux parties, de 56 courts métrages que Vromman a réalisé entre les années 1980 et aujourd"hui.

 

Het boek en de DVD werden samengesteld naar aanleiding van de expo "De eerste trede / Le premier échelon" en is een ludieke compilatie in twee delen van 56 kortfilms die Vromman maakte tussen 1980 en nu.

(NL versie van de boek > argos)

 

Né à Tielt le 1er avril (!) 1958, Jan Vromman témoigne dans ses films d'"un esprit malicieux et loufoque, qui brasse et retravaille les influences de la littérature, du théâtre (lieu d'origine de Vromman), mais aussi du cinéma, de la télévison et du vidéo-art, sous des formes expérimentales, audacieuses mais dont la dimension littéraire et narrative n'est jamais absente" (Emmanuel d'Autreppe - "Dic Doc - Le dictionnaire du documentaire").

 

"La chaise sur laquelle je suis assis" utilise de manière à la fois modeste, originale et créative les possibilités techniques du support DVD. Nous sommes ici en présence de plus qu'une simple compilation de courts métrages. Le DVD est structuré en trois volets, représentés par deux chaises et une salle d'attente. "La chaise à ma gauche" reprend une sélection d'oeuvres anciennes de Vromman, souvent remaniées par leur auteur en fonction du DVD. "La chaise à ma droite" constitue une longue série de récits-filmés récents. "La salle d'attente", le troisième volet, est comme un refuge. Celui qui ne peut choisir entre ces films peut y séjourner pour un temps indéterminé. Tant les films récents que les douze films plus anciens qui ont été retenus ont l'intercation entre l'unicité et la multiplicité comme point de départ. La plupart des films sont légers. Ce qu'ils énoncent est clair. A des observations simples est associée une reflexion. Un titre donne une tournure aux images qui suivent. Nombre de films n'ont pas besoin de mots, dans d'autres, l'artiste parle... Mais tous les films ensemble constituent une image du monde riche de nuances et d'idées. Une forme de regard et de vision. La signification figure dans la somme de l'ensemble (d'après Frie Depraetere).

 

  1. "La chaise à ma gauche" (1982-2000 / 100'): Acte pur et brut - Carré - Le triomphe du serpent - Remy chante: Mais tout d'un coup le film était fini - Tout pour la Flandre, la Flandre pour le Christ [extrait] - Gand 10 juin 1989 - Omnium Gallorum Fortissime Cantant Belgae - Peste Porcine - Le chantre aveugle Demodokos - Dix formules pour conjurer le diable - Madame Bertje - Film d'un autre
  2. La chaisse à ma droite (2002-2003 / 99'): Le spectacle va commencer - Je pensais à ma ville et aux gens - Petite mère - Bagues de cigares - Une pagode à Laeken - Berceuse - La côte belge - Son 39e cortège des crevettes - La grosse moustache à... - Le cantique des cantiques - Marie, délivre nous de notre chagrin - Noir / blanc et couleurs - Les vieilles mains - Marguerite à la piscine - Combien coûte une seconde résidence dans les Cévennes? - Le fils des frères Lumière - Un jardin rebelle en Ville - Un étalage à Molenbeek - La fin de la Yougoslavie - Monument pour une ville - Mars attaque - A la Samaritaine - Zorro - Stage d'aïkido - Apprentis-matelots - Nous colorons l'histoire - Là où l'étoile s'est arrêtée - Un an plus tard. Bruxelles 12 septembre 2002 - Les odeurs et les couleurs - Le train à vapeur - La "grande guerre" selon mon neveu Simon, 11 ans - Bon Dieu, mais qu'est-ce que je fais à Boué un dimanche après-midi? - Petit "In memoriam" - Arc-en-ciel - Poème urbain - "Suskewiet" et "Sieskewjew" - A mes voisins les poètes - Le chevalier Saint-Georges - Cette fois-là... - Une minute de silence pour nous-mêmes - J'ouvre mon salon à la danse et à la musique - Le dernier dimanche - Nous avons tous un nom.