Gaël Lépingle, Marcos Uzal (dir.)
2014
248 pages
17 x 24 cm
Objets poétiques déroutants et inclassables, les films de Guy Gilles (1938-1996) n’ont en leur temps pas trouvé la reconnaissance critique et publique qu’ils méritaient. Ce dédain passé s’explique probablement par ce qui force aujourd’hui l’admiration : ces films étaient trop à fleur de peau pour épouser la radicalité de leur époque et trop mélancoliques pour être récupérables. […]